Oeuvres complètes, 01 : Oeuvres pour orchestre : Hector Berlioz
Hector Berlioz
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Description
Oeuvres complètes, 01 : Oeuvres pour orchestre
1. 1. Waverley, grande ouverture, Op. 1, H26 ; 2. Le Roi Lear, grande ouverture, Op. 3, H53 ; 3. Rob-Roy, ouverture, H54 /
London Philharmonic Orchestra ; 2. Les Francs-juges /
The London Classical Players ; 3. Le Carnaval romain, ouverture caractéristique, Op. 9, H95 /
Royal Concertgebouw Orchestra ; 4. Le Corsaire, ouverture, H101 /
London Symphony Orchestra ; 5. Marche troyenne, H133b /
City of Birmingham Symphony Orchestra ; 6. Symphonie fantastique, Op.14, H48 /
Orchestre National de l'O.R.T.F. ; 7. Lélio, ou "Le Retour à la vie", mélodrame lyrique, Op. 14bis, H555b /
Jean Topart, narrateur (Lélio) /
Dolnald McInnes, alto
Compositeur : Hector Berlioz
Chef d'orchestre : Roger Norrington, Adrian Boult, Mariss Jansons, André Previn, Louis Frémaux
Narrateur : Jean Topart
Interprète : Charles Burles, Nicolai Gedda
Chef d'orchestre : Jean Martinon, Leonard Bernstein
Interprète : Donald McInnes, London Classical Players, London Philharmonic Orchestra, Orchestre Royal du Concertgebouw, City of Birmingham Symphony Orchestra, Orchestre National de l'O.R.T.F., Orchestre national Radio-France
Langue : français
Publication : Parlophone Records, 2019
Collection : Intégrale Berlioz, 01
Description : 3 CD + 1 dépliant
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Avis
Des lecteurs
le 06 septembre 2019
Énergique, brillant et pompier
Musique très énergique et assez pompière dans l'ensemble, qui convient bien aux thèmes des corsaires et des brigands. Leur structuration me laisse pantois : Berlioz va d'une rêverie à une "marche au supplice" en passant par un bal, sans que l'on voie la cohérence de l'ensemble de ces parties, qui peuvent être individuellement brillantes. Les morceaux avec monologue récités (Lélio) me sont insupportables.
Berlioz avait pour particularité de tuer au fusil les coqs dans les campagnes au motif qu'ils chantaient faux. Je comprends qu'il n'ait pas cherché à leur donner des leçons de chant, mais de là à les tuer...
Berlioz avait pour particularité de tuer au fusil les coqs dans les campagnes au motif qu'ils chantaient faux. Je comprends qu'il n'ait pas cherché à leur donner des leçons de chant, mais de là à les tuer...
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